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L’approche Nord-Sud des relations internationales, du développement et de la mondialisation serait-elle désormais « caduque » ? Ressassée par les secteurs conservateurs depuis le début des années 1980, cette idée gagne aujourd’hui du terrain parmi les altermondialistes et militants de la solidarité internationale.
En cause, le « déclin » économique et diplomatique du camp occidental, le déplacement du centre de gravité de l’économie mondiale vers l’Asie, la différenciation des trajectoires des pays du Sud et la montée en puissance d’une série de « défis globaux » – environnementaux, financiers, sanitaires, sécuritaires – qui menacent les sociétés du Nord comme celles du Sud et exigent l’adoption de démarches « constructives » et « coopératives ». Bref, la lecture Nord-Sud serait dépassée et contre-productive, car trop « clivante » quand la priorité est à la promotion de biens publics mondiaux.
A y regarder de plus près, les architectes de cette évolution idéologique sont à chercher… au Nord bien davantage qu’au Sud. A l’heure où le leadership de l’Occident est effectivement mis à mal, cette quête de normes globales ne reflète-t-elle pas aussi la capacité de celui-ci à marier stratégie de puissance et narration des intérêts supérieurs de l’humanité – de la bonne gouvernance au développement durable ? A produire des lectures à portée universaliste qui préservent ses intérêts et renforcent ses positions ?
La nécessité, indiscutable, de construire de nouveaux partenariats globaux ne dilue pas les rapports de force internationaux, notamment Nord-Sud. Elle leur offre un nouveau cadre.
Titre | Obsolète, le clivage Nord-Sud ? 40e anniversaire du CETRI |
La collection | Alternatives Sud |
Volume | Vol. XXIII – 2016, n°2 |
Date | 04/2016 |
Coord. / Auteur | Bernard Duterme, François Polet |
Edition | CETRI, Syllepse |
Format | 135x215 |
Pages | 181 |
ISBN | 9782849505021 |
Aux antipodes des valeurs de l’olympisme, le sport est devenu un grand marché et une industrie extrêmement lucrative à l’échelle de la planète : 3 % du commerce mondial, 650 milliards d’euros de chiffre d’affaires, 4 à 5 % de croissance annuelle. Produit, reflet, voire accélérateur de la mondialisation, le sport-business lui imprime ses logiques marchandes, ses dynamiques clivantes et ses dérives mafieuses : financiarisation à outrance, privatisation et capitulation des pouvoirs publics, affairisme, corruption, concentration des revenus dans les mains d’un nombre limité d’opérateurs, distribution inégale des recettes et des performances sportives qui recoupe les écarts économiques existants, etc.
Forts d’une extraordinaire couverture médiatique, les méga-événements sportifs apparaissent comme le « stade suprême » de cette compétition inégale. Spectacles globaux par excellence, ils constituent un rite de passage pour les économies émergentes et participent à leur stratégie de valorisation internationale. Revers de la médaille ? Expulsions et destruction de quartiers défavorisés, reconfiguration des espaces urbains au profit du secteur privé, mise en place de « juridictions d’exception », délimitation de zones d’exclusion commerciale, explosion des dépenses publiques pour satisfaire les exigences des fédérations… Une fois le rideau tombé, les pays hôtes doivent souvent déchanter.
Çà et là, des mouvements sociaux s’organisent pour dénoncer les coûts sociaux et humains de ce détournement de l’esprit du sport et de ses fonctions d’intégration.
Titre | Sport et mondialisation |
La collection | Alternatives Sud |
Volume | Vol. XXIII – 2016, n°1 |
Date | 03/2016 |
Coord. / Auteur | Laurent Delcourt |
Edition | CETRI, Syllepse |
Format | 135 x 215 |
Pages | 180 |
ISBN | 9782849504963 |
Les femmes sont en lutte - sous des formes individuelles ou collectives - sur tous les continents, l’oppression qu’elles subissent étant généralisée, sans être toutefois uniforme. Ce faisant, elles irriguent une pensée féministe complexe, en redéfinition, où les repères sont mouvants. Les féminismes s’inventent, se pratiquent, mais ne se ressemblent pas. Les références culturelles, les trajectoires historiques, l’environnement socioéconomique et politique conditionnent la configuration et l’expression de luttes qui peuvent être militantes ou institutionnelles, autonomes ou instrumentalisées, subversives ou plus consensuelles... Croire qu’« un » féminisme puisse dicter ce qui est bon et vrai - n’en déplaise à l’activisme déshabillé des Femen - est un leurre.
Les combats menés visent à contester des postulats sexistes et patriarcaux et, plus largement, à lutter contre des systèmes sociaux - pluriels et croisés - de domination (classe, âge, race, sexualité...). Les mouvements de femmes dans le Sud, au cœur de cette édition d’État des résistances, attirent l’attention sur le caractère ancré et local des luttes pour l’émancipation et sur l’exigence d’un agenda féministe qui soit adapté à leurs situations spécifiques. Originales et distinctes, ces voix convergent pour refuser l’instrumentalisation de leurs causes comme justification d’entreprises néolibérales et néocoloniales et pour revendiquer une transformation sociale durable en faveur des femmes.
Titre | État des résistances dans le Sud. Mouvements de femmes |
La collection | Alternatives Sud - État des résistances dans le Sud |
Volume | Vol. XXII – 2015, n°4 |
Date | 12/2015 |
Coord. / Auteur | Aurélie Leroy |
Edition | CETRI, Syllepse |
Format | 135 x 215 |
Pages | 247 |
ISBN | 978-2-84950-481-9 |
L’inégalité nuit gravement au bien-être. Le truisme est désormais décliné à l’envi par nombre d’études internationales : les disparités de revenus, les asymétries de patrimoines, la concentration des richesses génèrent des sociétés moins prospères, plus vulnérables et moins durables.
Or, à l’exact opposé des promesses de la doxa libérale du trickle down selon laquelle l’accumulation des nantis finit par percoler vers les plus modestes, l’aggravation des inégalités enregistrée ces dernières décennies - entre pays et à l’intérieur de la plupart des pays - s’impose comme l’effet sociétal majeur de la globalisation de l’économie. Et signe, en cela, l’échec d’un modèle de développement planétaire, inique et inefficace.
Comble de la concentration des patrimoines, 1% de l’humanité (73 millions d’ultrafortunés) détient aujourd’hui 50% des richesses totales, tandis que la moitié de la population mondiale (3,65 milliards d’individus) dispose de moins de 1% de celles-ci. Disproportion exorbitante, sans précédent et éthiquement injustifiable. Quant à l’écart entre pays riches et pays pauvres, si son explosion remonte à la période coloniale, il a encore pratiquement triplé depuis lors, pour atteindre un rapport de 80 à 1.
Comment se construisent ces disparités ? Pourquoi le rendement du capital supplante-t-il à ce point les revenus du travail ? Que pèsent les mécanismes de redistribution face à la dérégulation, aux accaparements privatifs, à la libéralisation commerciale, à la concentration des actifs, à l’évasion fiscale ? Des pistes politiques existent pour renverser la croissance des inégalités.
Titre | L'aggravation des inégalités |
La collection | Alternatives Sud |
Volume | Vol.XXII - 2015, n°3 |
Date | 09/2015 |
Coord. / Auteur | Bernard Duterme, Julie Godin |
Edition | CETRI-Syllepse |
Format | 135 x 215 |
Pages | 193 |
ISBN | 978-2-84950-474-1 |
L’économie sociale et solidaire serait-elle la solution à la crise financière mondiale ? Constitue-t-elle, dans les pays du Sud, la clé de transition de l’économie informelle vers le travail décent, comme l’affirme un texte récent des Nations unies ? En tout cas, depuis 2008, du fait principalement de sa résilience aux chocs économiques, elle jouit d’un regain d’intérêt et a gagné du terrain dans les esprits comme dans les stratégies institutionnelles.
Espace hétérogène, l’économie sociale et solidaire regroupe un large éventail d’entités – associations, mutuelles, coopératives, entreprises sociales, fondations… –, de secteurs et d’activités, et développe une pensée théorique non univoque, qui emprunte un vocabulaire différent selon les contextes – économie « sociale », « populaire », etc. Plutôt qu’un manque de cohérence, cette multiplicité traduit un positionnement, dont les contours et ressorts participent de sa définition, en Afrique, en Asie et en Amérique latine.
Tiraillée, d’une part, entre des injonctions et ambitions contradictoires ou complémentaires – créer des emplois, inventer un « capitalisme à visage humain » ou construire une véritable alternative –, d’autre part, entre ses prétentions globales et ses pratiques locales plus prosaïques, l’économie sociale et solidaire n’a pas de frontière naturelle ou étanche avec l’économie informelle et l’entreprise capitaliste. Dans quelle mesure, sur quelles bases et à quelles conditions se distingue-t-elle d’une simple moralisation de l’économie pour opérer comme un véritable levier de changement social ?
Ce numéro d’« Alternatives Sud » a été réalisé dans le cadre d’une collaboration entre le CETRI et Solidarité socialiste.
Titre | L’économie sociale et solidaire : levier de changement ? |
La collection | Alternatives Sud |
Volume | Vol.XXII - 2015, n°2 |
Date | 06/2015 |
Coord. / Auteur | Frédéric Thomas |
Edition | CETRI-Syllepse |
Format | 135 x 215 |
Pages | 196 |
ISBN | 978-2-84950-464-2 |
Prix | 13 (Frais de port compris) |
Les migrations sont devenues une réalité structurelle dans un monde globalisé. Elles concernent aujourd’hui une personne sur sept sur terre et sont de plus en plus diversifiées, multiples et complexes, tant par leurs motifs et leurs origines que par leurs trajectoires. Elles restent pourtant mal comprises, volontiers caricaturées, et surtout souvent réprimées, tant au Nord qu’au Sud.
Là sans doute se trouve un paradoxe singulièrement absurde et révoltant : alors que jamais l’aspiration à la libre circulation n’a été aussi forte, les politiques migratoires sont toujours plus restrictives. Le débat politique sur ces questions, particulièrement tendu, reste marqué par un décalage criant entre les réalités empiriques des migrations au Sud et leurs perceptions par les opinions publiques et les gouvernements au Nord. Or, contrairement à une idée reçue, l’essentiel des migrations dans le monde s’effectuent à l’intérieur ou entre pays en développement.
Il importe de mieux connaître les grands corridors migratoires et de comprendre les motifs qui poussent les gens à la migration. Il s’agit aussi d’interroger les réponses politiques qui sont apportées à ces réalités : comment réagissent les États ? Pourquoi et comment les frontières se ferment-elles ? Ces tendances inquiétantes invitent à tracer d’autres perspectives d’avenir, en proposant des alternatives aux politiques répressives actuelles, et en montrant que des politiques plus ouvertes, qui reconnaissent la migration comme un droit fondamental, seraient bénéfiques à tous.
Ce numéro d’« Alternatives Sud » coordonné par François Gemenne a été réalisé dans le cadre d’une collaboration entre le CETRI et le CNCD-11.11.11 sur le thème des migrations internationales.
Titre | Migrations internationales : un enjeu Nord-Sud ? |
La collection | Alternatives Sud |
Volume | Vol.XXII - 2015, n°1 |
Date | 03/2015 |
Coord. / Auteur | François Gemenne, François Polet |
Edition | CETRI-Syllepse |
Format | 135 x 215 |
Pages | 189 |
La mondialisation a considérablement modifié la configuration et la marge de manœuvre des mouvements syndicaux, au Sud comme au Nord. Le chômage de masse, la précarisation généralisée de l’emploi et la montée du travail informel, le retour en force du capital, plus mobile et plus fluide, les politiques répressives ou néolibérales antisyndicales, le morcellement et l’éclatement des statuts des travailleurs combinent leurs effets et obligent les syndicats à s’adapter.
Au processus mondial de réorganisation et d’unification – notamment avec la création de la Confédération syndicale internationale (CSI) qui représente quelque 175 millions de travailleurs et travailleuses dans 160 États et territoires – correspondent des situations contrastées dans les pays d’Asie, d’Afrique et d’Amérique latine. Loin d’y avoir disparu, la conflictualité syndicale a plutôt muté, s’est déplacée, en fonction entre autre de sa fragmentation ou de sa force, de la répression dont elle est l’objet ou de son institutionnalisation, de ses choix stratégiques.
Les luttes syndicales au Sud sont confrontées à de nombreux défis. L’autonomie et les droits syndicaux y sont régulièrement violés ou détournés. L’économie informelle et les formes de travail « atypiques » sont importantes, sinon dominantes, dans la majorité des pays. Le dialogue social entre employeurs, États et syndicats, quand il existe, se réduit souvent à gérer les dégâts de la crise. Une des questions stratégiques essentielles qui se pose dès lors est le type d’alliance à construire avec les autres mouvements sociaux et/ou avec les gouvernements ?
Le CETRI tient à remercier la CSC et la FGTB (les deux principaux syndicats belges) d’avoir facilité les contacts pour une partie des auteurs de cet ouvrage.
Le choix des articles demeure cependant la seule responsabilité du CETRI et les opinions exprimées et arguments avancés dans ces articles demeurent l’entière responsabilité de leurs auteurs.
Titre | État des résistances dans le Sud. Luttes syndicales |
La collection | Alternatives Sud - État des résistances dans le Sud |
Volume | Vol. XXI – 2014, n°4 |
Date | 12/2014 |
Coord. / Auteur | Frédéric Thomas |
Edition | CETRI, Syllepse |
Format | 135 x 215 |
Pressions sur les terres et les ressources, persistance de la faim, aggravation des inégalités et exacerbation des conflits ruraux, destruction des écosystèmes, exclusion des paysans des « bénéfices » de la mondialisation… l’agriculture productiviste est loin d’avoir tenu ses promesses. Comptant parmi les premiers contributeurs au changement climatique, elle crée les conditions de sa propre perte. En dépit de ce bilan désastreux, ses promoteurs continuent de la promouvoir, convaincus que les recettes biotechnologiques de l’agrobusiness vont finir par résoudre ces problèmes.
Au croisement d’une multitude de savoirs, l’agroécologie entend rompre avec cette logique mortifère. Moquée par les partisans du modèle industriel intensif qui la considèrent au mieux comme une production de niche, au pire comme une régression passéiste, elle ne se réduit pas à un patchwork de pratiques agricoles respectueuses de l’environnement. En optimisant à moindre coût exploitations familiales et savoirs paysans, elle devient un puissant instrument de transformation sociale dans les campagnes du Sud. En évitant l’emploi massif d’intrants externes, elle constitue un espace de résistance qui échappe à la mainmise des multinationales sur le système alimentaire. Et facilement adaptable, elle se révèle être une composante centrale du projet de « souveraineté alimentaire ».
Pour amorcer la transition agroécologique et enclencher un changement d’échelle vital, ses acteurs doivent construire de nouvelles alliances et s’appuyer sur les expériences les plus encourageantes.
Titre | Agroécologie - Enjeux et perspectives |
La collection | Alternatives Sud |
Volume | Vol.XXI - 2014, n°3 |
Date | 09/2014 |
Coord. / Auteur | Laurent Delcourt |
Edition | CETRI, Syllepse |
Format | 135 x 215 |
Pages | 211 |
ISBN | 978-2-84950-433-8 |
Deux longues décennies ont passé depuis le soulèvement armé des zapatistes du Chiapas dans le Sud-Est mexicain, le jour de l’entrée en vigueur de l’Accord de libre-échange nord-américain. Aujourd’hui pourtant, à coup de mobilisations détonantes et de communiqués fleuris du sous-commandant Marcos, la rébellion des indigènes mayas encagoulés défraie à nouveau la chronique, sur fond de tensions palpables.
Guérilla guévariste, mouvement civil d’affirmation identitaire, forum altermondialiste, autogouvernement rebelle… la dynamique zapatiste a revêtu au fil du temps des formes diverses pour revendiquer d’abord, construire ensuite – sur ses propres territoires désormais « autonomes de fait » – la democracia, la libertad et la justicia.
La viabilité d’une telle expérience profondément émancipatrice et radicalement démocratique est questionnée. Fragmentation politique des régions indigènes, stratégies contre-insurrectionnelles et assistancialisme gouvernemental, pénétration des transnationales de l’industrie extractive, touristique, agroexportatrice… l’adversité du contexte est tangible. Tout comme les limites internes de la rébellion dont les logiques d’action, sociales et politiques, peuvent converger ou se heurter.
Comment se profilent aujourd’hui les perspectives du mouvement zapatiste ? Quelle signification recèle cette critique en actes du modèle économique dominant et d’un certain rapport au politique ? Au Mexique et au-delà, quelle est la portée de cette lutte, aussi atypique que légitime, pour la dignité, la redistribution et la reconnaissance ?
Titre | Zapatisme : la rébellion qui dure |
La collection | Alternatives Sud |
Volume | Vol. XXI – 2014/2 |
Date | 06/2014 |
Coord. / Auteur | Bernard Duterme |
Edition | CETRI, Syllepse |
Format | 135 x 215 mm |
Pages | 216 |
ISBN | 978-2-84950-415-4 |
Si les systèmes de protection sociale européens font les frais des réponses publiques à la crise ouverte en 2008, la tendance est inverse au Sud, où un grand nombre d’États ont choisi d’amortir les effets du ralentissement économique en accélérant la mise en place, ou l’élargissement, de leur couverture sociale. Inspirés des expériences phares du Brésil et de l’Afrique du Sud, les programmes les plus répandus visent le transfert d’allocations modestes aux ménages les plus pauvres,
majoritairement exclus du marché du travail formel. Le recul de la grande pauvreté est indéniable dans les régions concernées, mais la couverture demeure réduite à l’échelle planétaire – 75% de la population mondiale n’a pas accès à une protection sociale de base aujourd’hui.
Aiguillée par l’échec anticipé des Objectifs du millénaire pour le développement, une coalition d’agences de coopération internationale ambitionne d’appuyer le mouvement et de généraliser la protection sociale aux régions les plus pauvres. L’initiative mérite d’être saluée. Mais les perspectives en présence divergent. Pour les uns, l’enjeu est bel et bien la mise en place de mécanismes redistributifs, dans une perspective d’élargissement des droits sociaux. Le tournant social des autres est plus suspect, en ce qu’ils y voient surtout un investissement productif dans le « capital humain », une mesure somme toute abordable dans la gestion du « risque social » lié à l’inéluctable libéralisation des économies.
Titre | Protection sociale au Sud : les défis d’un nouvel élan |
La collection | Alternatives Sud |
Volume | Vol. XXI – 2014/1 |
Date | 12/2013 |
Coord. / Auteur | François Polet |
Edition | CETRI, Syllepse. En collaboration avec le CNCD-11.11.11 |
Format | 135 x 215 mm |
Pages | 216 |
ISBN | 978-2-84950-415-4 |
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