La classe dominante guatémaltèque a pris l’habitude d’utiliser tous les moyens à sa disposition pour empêcher les peuples de s’emparer des rênes de l’État-nation, pour y construire une société juste et démocratique. Si d’importantes luttes se déploient (...)
Les syndicats guatémaltèques, plutôt choyés sous les gouvernements Arévalo et Arbenz (1944-54), ne sont pas sortis indemnes des décennies de dictature et de guerre anti-insurrectionnelle (1954-96). Et les accords de paix n’ont pas apporté la (...)
Les luttes à l’œuvre aujourd’hui au Guatemala, en particulier dans le monde indigène, sont à la fois l’expression d’une frustration structurelle historique, non résolue démocratiquement, et un contre-feu à la stratégie actuelle du capital, en quête de (...)
Parmi les diverses manifestations de mécontentement populaire enregistrées aux Guatemala face à la hausse des prix, à l’augmentation de la pauvreté, à la reconcentration de la terre et aux impacts de la pénétration de transnationales en quête de (...)