En Zambie, le mouvement ouvrier a toujours été faible : proximité du pouvoir, conflits internes et forte répression sur les syndicalistes dissidents. L’État a certes renoncé à la violence physique, mais il utilise d’autres moyens : sanctions, cooptations ou mesures compensatoires lorsqu’il se sent menacé. Face aux politiques néolibérales de réduction des dépenses publiques, les travailleurs ne disposent que de maigres marges de manœuvre.
Cet article a été publié dans notre publication trimestrielle Alternatives Sud
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