En Zambie, le mouvement ouvrier a toujours été faible : proximité du pouvoir, conflits internes et forte répression sur les syndicalistes dissidents. L’État a certes renoncé à la violence physique, mais il utilise d’autres moyens : sanctions, cooptations ou mesures compensatoires lorsqu’il se sent menacé. Face aux politiques néolibérales de réduction des dépenses publiques, les travailleurs ne disposent que de maigres marges de manœuvre.
This article was published in our quarterly publication Alternatives Sud
2022 © CETRI. Centre Tricontinental. All Rights Reserved | Privacy Policy | About this site |