Si les résistances sénégalaises ne se lisent plus en termes de manifestations et de grèves comme c’était le cas sous le président Wade, elles n’en sont pas moins présentes et renseignent sur les vices de la démocratie sénégalaise : l’institutionnalisation d’un système fondé sur la logique de « partis cartels » hégémoniques et la judiciarisation rampante du politique.
Este articulo fue publicado en nuestra publicación trimestral Alternatives Sud
2022 © CETRI. Centre Tricontinental. Todos Derechos Reservados | Política de privacidad | Acerca de este sitio |