La « démocratisation » du Sénégal a permis l’émergence de mouvements sociaux, le plus souvent sporadiques et sans lendemain, parfois autonomes et mobilisés sur des enjeux fondamentaux. Mais les régimes de Diop et Wade ont développé une stratégie similaire de réduction du champ de la contestation, soit en canalisant les mouvements par la cooptation, soit en suscitant une série d’initiatives appelées à noyauter les acteurs les plus hostiles.
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Cet article a été publié dans notre publication trimestrielle Alternatives Sud