Les réformes libérales du 19e siècle et la récente période néolibérale, entrecoupées de réformes agraires dans les années 1960 et 1970, ont servi de cadre à la privatisation des terres au Honduras. Le foncier constitue d’ailleurs l’épicentre des conflits sociaux. En dépit de la répression systématique des mouvements depuis le coup d’État, des convergences sont à l’œuvre, mais la priorité réside dans la consolidation des organisations de base.
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