Si le tissu associatif rural congolais est d’abord tourné vers l’auto-prise en charge, la capacité de mobilisation des organisations paysannes est une réalité. L’adoption récente du code agricole congolais en a fourni l’illustration. Pour autant la capacité de pression du mouvement pâtit de son faible degré de structuration à l’échelle nationale, produit de l’hétérogénéité des contextes et des rivalités régionales.
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