Récemment créées, les organisations paysannes nigériennes souffrent toujours d’un certain déficit de légitimité. Une situation alimentée par des conflits de leadership chroniques. Cette difficulté ne les a pas empêchées d’imposer leurs points de vue dans des débats spécifiques, notamment en matière de droits fonciers, ainsi qu’à l’échelle des orientations politiques nationales, qui incluent depuis 2010 le principe de la souveraineté alimentaire.
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