Les luttes paysannes au Népal ont longtemps été liées, voire subordonnées aux stratégies des partis communistes, ce qui leur a donné une structuration particulière. Nées dans les années 1950, ces luttes se sont d’abord heurtées à une violente répression, avant que les gouvernants n’entament des réformes par peur de l’influence communiste. Avec le processus démocratique et les droits acquis, la résistance paysanne s’est profondément transformée.
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This article was published in our quarterly publication Alternatives Sud