« Supplétifs » ou « appendices » des pouvoirs publics dans les deux décennies postindépendance, les organisations paysannes ouest-africaines se sont autonomisées, multipliées, consolidées et fédérées ces vingt dernières années, à la faveur de la « démocratisation ». Elles restent toutefois fragiles face à l’agrobusiness, aux stratégies individuelles ou claniques de leurs leaders, et aux instrumentalisations et interférences extérieures.
Télécharger | Mouvement paysan ouest-africain : entre efficacité et fragilité | PDF - 198.1 ko |
Cet article a été publié dans notre publication trimestrielle Alternatives Sud