Le foisonnement associatif que connaît la majorité des pays africains est le produit des mutations subies par les Etats du continent – ajustement structurel et libéralisme politique inachevé. La vulnérabilité des organisations sociales aux mécanismes de neutralisation déployés par les pouvoirs met en doute leur capacité à incarner un contre-pouvoir effectif. Pourtant, dans plusieurs pays, une société civile « indocile » a su canaliser le mécontentement populaire et installer un rapport de force avec les dirigeants. Clés de lecture pour mieux comprendre les révoltes des perdants de la mondialisation.
Télécharger | Les résistances africaines entre répressions et instrumentalisations-FP | PDF - 540.6 ko |
Les opinions exprimées et les arguments avancés dans cet article demeurent l'entière responsabilité de l'auteur-e et ne reflètent pas nécessairement ceux du CETRI.