La Coupe du monde de football est le moteur d’un complexe d’accumulation rodé. La privatisation et la globalisation des acteurs a permis à la FIFA – au nom du sport et du développement – d’exploiter les pays hôtes et de se garantir, par tous les moyens, des bénéfices colossaux pour elle et ses partenaires commerciaux. Le dévoiement du sport utilisé comme bélier du capitalisme néolibéral appelle une remise en cause fondamentale du système.
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