Mus par des objectifs de rentabilité financière immédiate, les opérateurs, publics et privés, du développement touristique de Saly sur la « Petite Côte » sénégalaise – première station balnéaire d’Afrique subsaharienne – ont sous-estimé les dégâts environnementaux, culturels et économiques occasionnés. Le littoral, écosystème fragile, et les populations locales, agriculteurs et pêcheurs, en ont fait les frais. Appel à une redéfinition du modèle.
Cet article a été publié dans notre publication trimestrielle Alternatives Sud
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