A travers l’analyse de l’expérience de la « petite école zapatiste » - comme subversion des formes scolaires, comme manière d’entrelacer dimension émotionnelle et travail politique, comme articulation de l’individuel et du collectif -, c’est l’expérience de la construction de l’autonomie dans les territoires rebelles du Chiapas qui se révèle, la logique de l’autogouvernement, son mode de fonctionnement et ses principes radicalement démocratiques.
This article was published in our quarterly publication Alternatives Sud
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