Depuis une dizaine d’années, le Guatemala connait un nouvel élan agro-industriel « extractiviste », particulièrement favorable aux plantations de canne et de palme. Principal allié de cette restructuration agraire, l’État, actif dans la fabrication de « territoires gouvernables ». Principales victimes, les paysans q’eqchi des basses terres du Nord, dont les contestations, portées à l’échelle nationale, sont discréditées et criminalisées.
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Cet article a été publié dans notre publication trimestrielle Alternatives Sud