La disparition en 2012 de Meles Zenawi, homme fort de l’Éthiopie depuis 1991, n’a pas donné lieu à la guerre de succession que d’aucuns prévoyaient. Si les oppositions politiques, ethniques et religieuses s’enhardissent, elles ne présentent pas de menace sérieuse pour le parti au pouvoir. Dans les campagnes, la politique d’octroi de grandes surfaces arables à des investisseurs étrangers se poursuit.
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Cet article a été publié dans notre publication trimestrielle Alternatives Sud