Les réformes engagées à Cuba vers le « socialisme de marché » changent les formes de propriété et impliquent l’abandon du modèle social. Les inégalités fragilisent la légitimité du processus dans une société éduquée à la solidarité, mais où le socialisme d’État corsetait le corps social. Les conflits s’expriment de façon embryonnaire, le rapport entre société civile et gouvernants a changé, l’exigence d’une nouvelle citoyenneté se fait jour.
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