Octobre 2007, le Brésil est euphorique. La Fifa vient de confier au pays l’organisation de la Coupe du monde de football. Promesse d’importantes retombées économiques, cette « Copa » doit alors symboliser la « success story » brésilienne et confirmer son statut de nouvelle « puissance émergée ». Depuis pourtant, l’enthousiasme a cédé le pas à la frustration. A quelques jours du grand barnum footballistique, l’heure n’est plus vraiment à la fête. En témoigne la montée de la contestation sociale dans le pays, laquelle lève un coin de voile sur les dessous de ce Mondial.
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