Le paradigme de l’interdépendance s’impose comme nouvelle grille de lecture du monde au sein de la coopération non-gouvernementale belge, reléguant l’ancienne division « Nord-Sud ». Sous des dehors actuel et élaboré, il prête le flanc à plusieurs critiques. En survalorisant les connexions et points communs entre régions du monde, il euphémise les rapports de domination entre collectivités politiques et gomme les spécificités locales au sein desquelles s’expriment les « risques globaux ».
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