Ajoutant des « affaires » aux politiques néolibérales, sur fond de détérioration des services publics, le gouvernement Zuma a vite dilapidé son capital de sympathie auprès des bases sociales historiques de l’ANC, des classes moyennes inférieures jusqu’aux sans emploi des townships… qui se mobilisent. Le déplacement du centre de gravité des luttes sociales est-il pour autant annonciateur d’une recomposition des forces politiques en Afrique du Sud ?
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